Bonjour,

Finalement, on a le temps de télécharger quelques photos supplémentaires, les dernières cette fois-ci ! Après Uyuni nous avons mis le cap sur la capitale administrative, Sucre

Sur fonds de campagne pour les prochaines élections présidentielles


Suite à cette visite, nous avons dû faire le difficile choix de renoncer a la Paz. Encore 28 heures de bus pour un jour de visite, ce n´était pas jouable. Ce sera pour une autre fois. On est parti se consoler sur la route des vins.
Dans des petits bleds pas forcément inoubliables, mais tout de même mignonnets. Ici Camargo.


A la nourriture pas toujours excellente et légèrement répétitive vous dira Cécile (encore de la sopita...).


Un point de vue très personnel, puisque Sven estime qu´en se forçant un peu ça passe, et qu´après tout on est pas si mal. (Une question d´éducation)


La fin de ce périple nous amena à la ville de Tajira fort sympathique, avec des gens marrants, ici un partisan du "Non" au référendum, lors d´un meeting.


Du vin

Des vignes


Même s´il est vrai que le vin ne fait pas toujours rêver, et peut provoquer quelques mots de ventre. On se demande comment ils font pour boire ça tout le temps. Mais faut dire qu´ils sont super forts.


Après Tajira, nous sommes repartis pour Salta, et de là nous nous sommes organisés une petite virée dans les Vallées Calchaquies, avec une cousine de Titine notre regrettée Opel Corsa de Cayenne.





Pour ceux qui comprennent l´espagnol...





Un Sven se cache dans cette photo
Puis nous sommes reretournés à Salta, le temps d´une Peña improvisée dans l´hôtel

Où le vin était meilleur qu´en Bolivie (Ici nous avec Christian)

Nous voilà maintenant arrivés au terminus de notre voyage, Buenos Aires.

Le temps de quelques rencontres...

Et puis voilà, c´est fini, c´était Sven et Cécile en direct de la Guyane puis du Brésil, de la Bolivie et de l´Argentine. A vous Paris.

Merci a tous ceux qu´on a rencontré en Guyane et ailleurs, merci a ceux qui ont suivi ce blog, vous étiez 4 mais c´est mieux que rien. Merci à tous ceux qui vont nous accueillir gracieusement à Paris quand on n´aura pas de logement ni de boulot.
Le mot de la fin : On est même pas tristes, on va manger de la tartiflette.