lundi 23 novembre 2009

Chers compatriotes gringos, nous voici de retour en Argentine et un sentiment de puissance nous envahit lorsque nous nous servons des PC, ceux-ci peuvent charger une photo en moins de 10 minutes, ce qui nous permet de vous écrire ce poste en un éclair. Nous allons tenter de vous rendre compte de la splendeur des deserts andins dans un cyber café entierement dédié a Fifa 2010, et ça fait des grands "Ooooh!!!" et ça fait des grands "Aaaah!"

Le jeune argentin ne plaisante pas avec Fifa 2010. Faut dire que ce sont des vrais fans : parce que mettre 6-2 au Barça avec le FC Salta, faut le faire. N´est-ce pas maman ? (Sven) Toujours est-il que le jeune adolescent argentin a une voix douce et cristaline qui vous éveille le tympan comme la petite goutte de rosée matinale caresse le bourgeon de capucine avant une longue journée d´été. C´est complétement fou non?
Donc revenons en a nos moutons. Nous passames quelques 18 heures de bus fort sympathiques apres les Missions en direction de Salta, capitale du Nord Ouest Argentin, à la porte des Andes. Ca fait rêver les français, il n´y a qu´eux a Salta. Pourquoi ici plus qu´ailleurs? Amis gringos-camembert, nous vous invitons a vous joindre a notre réflexion.

Salta donc, avec ses églises qu´il ne faut pas manger.


Mais aussi tout plein de maisons.


Et des touristes. Ici, notre première journée complétement hors sujet, dans un pub avec John Paul, un irlandais de souche. Ne pas essayer de le suivre a la bière, ces gens-là ne sont pas comme nous.

Du coup on est parti marcher, parce qu´il fallait bien eliminer quelques toxines. On est parti à l´assaut de la Quebrada de Humahuaca :


Des montagnes, des figures...Differentes roches rejetées par des volcans hystériques il y a quelques millions d´années.
Purmamarca :
Des couleurs
Des cathédrales...

Cécile dans le désert depuis trop longtemps...


Nous nous sommes livrés au test de la tache d´encre, (ou de Rorschach), transmettez-nous vos interprétations. (Nous avons bien sûr vu l´allégorie du génie politique d´Henri IV réunifiant la France blessée autour d´un seul et même but)


Bref, comme l´écrivent les poètes locaux :
Ou autrement dit : "C´est pas le cap de la Hague, mais c´est quand même pas trop mal foutu" (ou "on n´a pas tous les mêmes références", cf. Cécile...)

En plus on s´est fait des potes:
...serviables Et sympas.
Bref nous reprîmes la route, direction la Bolivie, et croyez nous, le meilleur est à venir...


Même si ce n´est pas facile tous les jours pour tout le monde.

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